Discographie

FEMMES

Sur son nouvel album Femmes, Marie-Josée Lord incarne avec passion des héroïnes d’opéras de Verdi, de Puccini et de Massenet. La pétillante soprano canadienne donne vie à quelques-uns des plus beaux personnages de femmes à l’opéra, tels que Violetta (La Traviata), Aïda (Aïda), Cio-Cio-San (Madama Butterfly), ou encore Thaïs (Thaïs) et Salomé (Hérodiade). Marie-Josée Lord est accompagnée de l’Orchestre symphonique de Laval sous la direction d’Alain Trudel.

AMAZING GRACE

Pour son premier album de Noël, Amazing Grace, Marie– Josée Lord emprunte les voies de la spiritualité. Animée par son amour du gospel et des chansons traditionnelles de la nativité, la soprano s’entoure de l’Ensemble vocal Épiphanie pour interpréter quelques Spirituals bien connus dont Amazing Grace et Couldn’t hear nobody pray. Accompagnée par Jean-Willy Kunz à l’orgue de l’Église Saint-Jean-Baptiste de Montréal et du violoniste Antoine Bareil, Marie Josée Lord chante également des classiques du temps de Noël comme l’Ave Maria de Bach-Gounod et le Minuit, Chrétiens! d’Adolphe Adam.

YO SOY MARIA

Pour son nouvel opus, Marie-Josée Lord propose Yo soy Maria un parcours musical exceptionnel qui va des trottoirs de Buenos Aires (Astor Piazzolla) en passant par les jardins d’Aranjuez en Espagne (Joaquín Rodrigo) et les Avenidas du Portugal.

Soutenue par un ensemble de dix musiciens, Marie-Josée chante quelques-unes des plus belles mélodies du répertoire latin : Bésame muchoGranada et La flor de la canela. Elle aborde également des pièces plus lyriques comme le Kyrie de la Misa criolla d’Ariel Ramírez et la Bachianas Brasileiras no 5 de Villa-Lobos dans des arrangements originaux signés Simon Leclerc qui assume aussi la direction musicale de ce disque.

Marie-Josée Lord

Pour son premier disque solo, l’intense et flamboyante Marie-Josée Lord a choisi ce qu’elle aime le plus dans son répertoire d’airs d’opéra. Parmi sa sélection, Summertime et My man’s gone now (Porgy and Bess) de Gershwin, Si mi chiamano Mimi (La Bohème) de Puccini, La mamma morta (Andrea Chenier) de Giordano, et en première mondiale sur disque Le Monde est stone (Starmania) de Luc Plamondon et Michel Berger dans l’arrangement symphonique de Simon Leclerc.